Eleonaure Bijoux sur mesure & de tradition
Notre collection de joaillerie du classique au moderne. Tous ces bijoux sont issues de la créativité et du savoir faire d'artisans bijoutiers français. Ils sont personnalisables et modifiables. C'est ici que vous pourrez trouver une bague de fiançaille, une alliance ou encore une parure.
La France recèle un nombre important de traditions bijoutières locales. Cette collection est là pour les faire vivre, et vous permettre de mettre en valeur votre identité en l'inscrivant dans la longue histoire de votre région ou plus simplement d'exprimer votre attachement à une région spécifique.
Inspiré des traditions religieuses, ethniques ou tout simplement d'autres parties du monde, cette collection de bijoux traditionnels est idéale pour mettre en valeur ses racines, d'affirmer son histoire, ses convictions, ses valeurs.
Cette collection regroupe des bijoux symboles de profession, d'intérêt divers allant du sport à l'histoire en passant par la nature. Un cadeau parfait pour les passionés qui souhaitent revendiquer leur passion.
Une sélection de Bagues de fiançailles, alliances ou médailles pour chaque grand moment.
Nos bijoux dans diverses scènes contextualisées pour mieux apprécier leur éclat et leur splendeur.
Découvrez nos bijoux en fin de série à tarif préférentiel.
Nous pouvons faire réaliser pour vous un bijou de haute qualité dans un atelier français selon vos désirs à partir d'un descriptif ou d'un croquis.
Nous pouvons reprendre votre vieil or pour le refondre et créer un nouveau bijou en or à moindre coût.
Découvrez toutes les pierres et tous les métaux disponibles sur ce site
Découvrez tous les types de sertis possibles pour vos pierres
Vous pouvez nous demander un devis pour un bijou ou une modification d'un bijou de notre catalogue.
Captivés par la naissance, la création, l'origine du monde, et la mort accèdant à l'éternité, les égyptiens ont beaucoup de symboles que vous découvrirez dans cette collection : un vrai trésor d'Egypte.
Découverts fortuitement puis de façon plus méthodique par les archéologues, les vestiges de cette civilisation ont passionné les foules au 19ème siècle et continuent à captiver les peuples aujourd'hui, à l'instar de la grande exposition mondiale « Toutânkhamon, Le trésor du pharaon, passée par Paris en 2019. Cette exposition a eu un succès inégalé, réunissant plus de 1.3 million de visiteurs ! Les 150 objets de la tombe du célèbre pharaon ont été admirés de Londres à Sydney avant de revenir définitivement au grand musée du Caire.
Les objets exposés sont effectivement de véritables trésors par leur incroyable conservation malgré leur âge (on pense au fauteuil en bois de Toutânkhamon qui a conservé la finesse de son décor à la feuille d’or), et par leur nature (les bijoux sont nombreux avec des colliers, des bracelets, des boucles d’oreilles sertis de lapis, de cornaline).
Les égyptiens pensaient que les êtres humains mourraient deux fois : la première fois au moment de la mort physique du corps et la seconde fois lorsque le nom du défunt n’était plus jamais prononcé (ainsi Toutânkhamon n’est-il jamais mort puisque son nom attire toujours autant).
La mort charnelle était imaginée comme un voyage à travers le temps et l’espace, où le roi devait passer 12 portes pour atteindre le royaume de l’éternité, bien gardé par Osiris. Pour l’aider dans son voyage, les égyptiens déposaient ainsi tout ce dont le roi pourrait avoir besoin. « Un nécessaire de voyage » composé d’objets, de bijoux, d’amulettes, d’offrandes, et même de nourriture. Ce sont ces objets que l’on a découverts dans les tombeaux des pharaons, disposés dans les nombreuses chambres des pyramides, dans les cercueils et nichés dans les bandelettes de momie.
Après cette mort charnelle et pour continuer à vivre éternellement, les égyptiens ont ensuite multiplié les écritures et les symboles, à travers les hieroglyphes. Ils ont plutôt bien réussi car des siècles plus tard, notamment grâce à la pierre de rosette, nous avons toujours en mémoire le nom des grands pharaons, des rois et des reines (Akhenaton, Toutânkhamon, Cleopâtre, Nefertiti ...). Les symboles qu'ils ont utilisés ont fonctionné. Ce sont toujours des portes-bonheur qui vous assuront peut-être les mêmes protections ?
Le soleil Rê ou Ra est le Dieu solaire suprême créateur de l’univers et adoré en Égypte. Il est omniprésent physiquement à travers l’astre dans le ciel mais également en se transformant en animal selon les périodes de la journée. Ainsi, les images du veau ou du scarabée symbolisent le soleil de l’aube, le taureau et le faucon représentent le soleil au zénith, le bélier à la tête baissée est quant à lui le soleil couchant qui va affronter les démons de la nuit jusqu’à remporter la victoire du lendemain au petit matin.
La croix de vie est aussi appelée Croix Ânkh ou croix Ansée. Il s'agit d'un hiéroglyphe égyptien qui signifie "vie". De nombreuses illustrations picturales montrent des Dieux Égyptiens portant la croix par la boucle. Sur la tombe d'un défunt, la peinture signifierait que le Dieu fait don de vie à la momie du défunt. La croix ansée symbolise donc l'immortalité de l'âme.
L’œil Oudjat est quant à lui, l’œil du Dieu faucon Horus. La mythologie égyptienne lui attribue des pouvoirs de protection et le pouvoir de voir l'invisible. Il est représenté sur de nombreux supports dont les sarcophages, les momies et même sur la proue des bateaux pour leur permettre de tenir le cap.
L'abeille est le symbole de la société egyptienne dans son organisation entre le pouvoir royal et le peuple. Elle représente la monarchie egyptienne.
Le scarabée est un animal qui intriguait les égyptiens. Appelé aussi Khéper, ce qui signifie « venir au monde », ces derniers ne connaissaient a priori pas son mode de reproduction. Il est associé au dieu primordial, le premier à l’origine du monde. Insecte mystère et captivant, lié à la création du monde et chargé de transporter les âmes vers l'éternité, il symbole la protection et devait protéger les âmes des rois et des reines dans leur voyage dans l’au-delà.
Le cartouche est un ensemble de hiéropgyles encadrés par cette forme bien particulière. C'est Jean-François Champollion qui a compris qu'il s'agisait pas d'un mot mais du nom d'une personne (pour le distinguer dans le texte), souvent d'un roi ou d'une reine.